Renard à Paris (le) (ana.)
Citation
Le petit coq arriva enfin à Paris et monta sur la plus haute tour du château et chante : « Coc’licu, vous me devez cinq sous ». Le roi commença à être irrité de ce chant et demanda pour s’en débarrasser, à ce que le coq soit placé dans le poulailler. Dans le poulailler, le coq fit sortir le renard de sa jambe de culotte et fut sauvé. Il retourna chanter. Le roi décida alors de le mettre dans l’étable avec les vaches. Le coq appela le loup qui sortit à son tour, et fut sauvé. Excédé, le roi le fit placer dans le four, la rivière sortit, tua le feu et submergea le château. On donna les cinq sous au petit coq… « mais il ne m’en a pas donné » conclut le conteur.Début du conte sur le document titré « Le renard à Paris » (001558_18). On entend en fond musical la polka piquée « c’est la fille de la meunière » (ana.), jouée à l’accordéon diatonique
Relations
Chansons traditionnelles, danses jouées à l'accordéon diatonique et contes
79
DEUX-SEVRES-79
Cerizay (canton de) – 79
La Forêt-sur-Sèvre (Montigny)
POITOU
Bocage bressuirais
Auteur(s)
bouthillier, robert. interprète(s). enquêteur, couton, christian. enquêteur, rouger, jany. enquêteur
Lieu(x)
Sujet(s)
[at 700-749] autres contes surnaturels, conte-légende-récit, coq, danse, loup, musique, renard
Langue(s)
français
Droits
UPCP-Métive
Contributeur
Portail du patrimoine oral